Service commandé

J’ai accepté un deal de Courrier International : placer leur bannière chez moi, c’est fait, et écrire deux articles par mois ayant pour sujets l’un de leurs articles publiés,ça reste à  faire…
Inconvénient: j’avais dit que je ne ferais jamais d’argent avec ce blog, car c’est rémunéré, et là  si… Eh ben, tant pis (Je me suis assuré, évidemment, que le contenu et le ton demeuraient totalement libres…) !
Avantage: je vais devoir être plus régulier dans mes publications !
Je n’ai encore jamais écrit ici “sur commande”, on va bien voir…

9 Commentaires

  1. Pingback : Abogado | Maître Mô

  2. Heu, maître... Pourriez pas me brancher hein ? Faut dire que le faire pour rien, c'est cool, mais si ça peut aussi calmer mon banquier, c'est encore mieux. Alors vos bons plans, je suis preneuse... ;-)
  3. salah
    C’est une excellente nouvelle .C’est une ouverture plus qu’une opportunité .Je félicite également le Courrier International pour ce deal. C’est une innovation créatrice plus qu’un arrangement .Un concept qui s’impose et qui s’inscrit dans le temps présent.C'est une initiative qui s'adapte aux nouveaux moyens pour accéder à  l'information et aux connaissances .On s'en félécite quand ce sont les meilleurs qui dealent !
  4. Prof Timbré
    Et si en plus cela vous permet de vous réconcilier avec votre banquier ! :)

    Faudrait que vous vous arrangiez avec Courrier International pour vous faire payer au nombre de lecteurs de blog. On s'occuperait du reste.
  5. En même temps, "Courrier International" est un excellent journal qui devrait (à  mon avis) être obligatoire dans les collèges et lycées tant il ouvre une fenêtre sur le monde d'une manière à  la fois simple (c'est finalement de la syndication de flux, not' bon vieux RSS) et la plus accomplie puisque tous les avis (hormis les extrêmes, et encore) sont représentés.

    Si en plus, il se "paye" ;) le meilleur avocat du monde... il n'y a plus aucune raison de ne plus s'abonner... sauf à  vouloir conserver son kiosquier, ce qui est mon cas ! :D


    à  plus,

    Gzyg

Fin des commentaires


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