Memento : Mô rit !
Lundi, ça fera sept mois. Je crois qu’il ne s’est pas passé un jour sans que je ne te parle, je sais que j’ai pensé à toi chaque jour. Autant dire que si c’est moi qui ai raison1 sur l’Après, tu ne t’es guère débarrassé de moi et tes oreilles doivent bourdonner. Si c’est toi qui avais raison, eh bien au moins ça ne peut pas te gêner. Je pourrais tenter de faire l’éloge de toutes les qualités qui manquent à tes proches depuis sept mois, et Dieu sait que ce serait mérité et que ça ferait un long billet.…