Ad vocatus

Il y a exactement seize ans, je me tenais, compacté avec une trentaine d’autres élèves-avocats et leurs familles, dans la belle salle du Parlement de Flandres, à  Douai, debout dans une robe d’avocat flambant-neuve, offerte par ma grand-mère qui pleurait dans la salle (elle a toujours cru que je devenais procureur pour poursuivre les agresseurs de vieilles dames…), et je disais à  mon tour, ganté de blanc, “Je le jure !”, après lecture générale de notre magnifique serment : je devenais avocat.

En guise d’anniversaire, et pour continuer à  bien me souvenir de ma naïveté de l’époque, et de la fougue qui va avec, je voulais vous raconter ma première plaidoirie en correctionnelle, survenue quelques heures plus tard : je fais un beau métier, mais parfois pas sans mal…

Il faut dire que j’ai eu de la chance, puisqu’elle s’est soldée par une relaxe (Et ma première plaidoirie d’Assises par un acquittement (ça signifie la même chose selon qu’on est en correctionnelle, où l’on juge les délits, ou aux Assises, où l’on juge les crimes) : c’est ce genre de hasard (car pour pouvoir obtenir cette mise hors de cause, il faut bien sur d’abord “tomber” sur des affaires qui le permettent) qui fait croire aux jeunes des années après que vous avez un talent extra-terrestre… Et ce sont, pour des raisons différentes, je vous raconterais plus tard celles des Assises, deux moments que je n’oublierai jamais !)… Et vous allez voir que, franchement, je ne l’avais pas volée !

Cette première audience correctionnelle, donc, était aussi, comme pour tout jeune avocat qui souhaite faire du pénal et n’a aucune chance d’être désigné par personne étant donné que la veille il n’était encore qu’un étudiant attardé, celle de ma première permanence pénale, où ce jour là  comparaissaient deux garçons soupçonnés d’avoir volé à  l’arraché le sac d’une dame âgée, devant la Gare de Lille.

Tout était allé très vite, par définition, et la dame avait juste eu le temps d’apercevoir deux jeunes maghrébins s’enfuyant avec son sac à  main Vuitton, auquel elle s’était accroché quelques secondes, mais qu’elle avait du lâcher devant les secousses frénétiques que lui imprimait le plus grand de ses agresseurs, qui l’avaient tout de même fait chuter lourdement (sans conséquences autres, heureusement, qu’un mal aux fesses anodin).

Les policiers, toujours présents à  la gare, avaient fendus la foule, relevé cette dame qui hurlait, obtenus une description très précise des malandrins (“Deux jeunes arabes, un plus grand, les yeux noirs méchants !”), avaient avisé les cent cinquante personnes se trouvant dans le périmètre, repéré deux jeunes gars pouvant correspondre à  ce signalement et qui “à  notre vue, détournent les yeux et tentent de partir en marchant comme si de rien n’était”, et avaient interpellé celui des deux qui avait couru le moins vite, à  plus forte raison qu’il ne leur était pas inconnu…

Tout le monde au Poste, où l’on apprenait que ce gamin avait un casier long comme un jour sans pain, était formellement reconnu par la victime, niait totalement les faits, et était possesseur de la somme de cent cinquante francs, qui correspondait à  peu près à  celle contenu dans le beau sac-à -main…

Et un détail, surtout, le confondait définitivement : cette dame indiquait aux policiers qu’elle rangeait ses billets dans son porte-monnaie d’une façon particulière, les y pliant toujours en deux en largeur, puis en trois en longueur (j’appris plus tard que les vendeurs de stups’ font la même chose, si ça se trouve c’était Madame Escobar, je n’ai jamais su !); or, les policiers indiquaient que sur les billets de cinquante francs saisis sur notre lascar, on distinguait bien une trace de pli verticale et deux horizontales…

L’affaire étant ainsi faite, notre camarade “présumé coupable”, comme on dit aujourd’hui illégalement, et la vendeuse d’héroïne au Troisième Age victime, se retrouvaient devant le Tribunal Correctionnel le lendemain, en vertu d’une procédure qu’on appelait encore à  l’époque de “flagrant délit”, où ce grand garçon avait l’insigne honneur, entrant ainsi dans la légende, de se voir commis d’office un grand flandrin mort de trouille et ruisselant dans sa robe noire toute neuve, j’ai nommé celui que l’on connaît maintenant à  Lille sous les appellations de “Le Magnifique”, “L’Avocat”, “La Terreur des Sacs A Mains”, mais qui n’était encore à  l’époque, depuis seulement dix heures environ, que Maître Mô…

J’avais lu le dossier, qui entrait dans la catégorie bien connue des avocats de permanence dite des “dossiers pourris”, et je rencontrais donc mon client, Farid, dans les geôles du Palais, lequel client appartenait quant à  lui à  la catégorie de clients bien connue des avocats de permanence dite des “clients chiants et ingérables” : il hurlait déjà  quand j’arrivais, “relâchez-moi, j’ai rien fait, justice de merde, je veux voir l’avocat…”, et, lorsqu’il me vit, redoubla d’efforts du même type en ajoutant désormais à  ses saillies spirituelles et très sonores “hé je veux pas un gamin, c’est un bébé, putain je veux un a-vo-cat !!” en menaçant de tout casser, de se détruire par le feu et de manger ses compagnons de cellule, le tout dans un ordre indéterminé mais peu propice à  apaiser les magistrats qui l’entendaient vociférer depuis la salle d’audience, juste au-dessus…

Il me semblait que mon devoir était de lui dire qu’il ferait mieux de se calmer et de mesurer ses propos, que j’entendais ses protestations d’innocence, mais qu’elles passeraient aussi bien en mode “voix normale”, et qu’en tout état de cause des éléments un peu accablants pesaient sur lui dans cette affaire, notamment la reconnaissance de la victime, et les plis des billets…

J’essayais, mais n’obtenais à  chaque tentative qu’un tonitruant “Vas-y dégage, bouffon !” ou “Va changer ta couche !” qui, je l’avoue, me désarçonnaient un brin…

Je le laissais donc à  sa réfaction du Monde Judiciaire sous forme d’épandage massif de déjections variées, et remontait vers la salle d’audience, escortés des sourires entendus des flics d’audience, mais drapé dans ma robe immaculée, mon innocence, et ma dignité toute fraîche.

Il niait, et le faisait avec force : je plaiderais la relaxe, et puis c’est tout !

La question du “comment” me vint néanmoins en me présentant, comme il est d’usage, au Tribunal, dans l’arrière-salle, dont le Président (Un homme particulièrement gentil et humain par ailleurs que je salue donc ici s’il me lit et se souvient !) me souhaita chaleureusement la bienvenue, mais, entendant les braillements de Farid depuis les geôles, me souhaita aussi “bien du plaisir” …

Je retournais en salle d’audience, qui commençait à  se remplir pour ma plus grande trouille supplémentaire, et deux types hirsutes, assis au premier rang du public, arborant de grands sourires mais également en voie de clochardisation avancée d’après ce qu’on pouvait voir de leurs habits, leurs cheveux et leurs joues mal rasées, me firent signe de m’approcher, et… Me souhaitèrent à  leur tour la bienvenue : il s’agissait en fait des deux chroniqueurs judiciaires des deux quotidiens lillois (j’apprenais à  toute vitesse, depuis j’en reconnais un d’un simple coup d’œil dans n’importe quelle salle correctionnelle de France; l’un d’eux est toujours en activité à  Lille, donc, Didier, je voulais te dire que c’est moi qui me trompais à  l’époque bien sur, tu ne ressemblais pas du tout à  un clochard, bien sur, et n’hésite jamais à  me citer dans tes articles, hein, ne va pas te vexer sottement…) !

Ils m’apprirent qu’ils suivaient l’affaire, que le “coup des billets” c’était rigolo… Et j’eus soudain une idée lumineuse : je leur demandais s’ils n’avaient pas un billet de cinquante francs ! Que je leur rendrais bien sur après l’audience…

Malgré leur expérience des avocats, peut-être parce que je n’en étais pas encore tout à  fait un, ils me crurent, et me prêtèrent ce billet, amusés : je leur assénais alors un théâtral et très sérieux “Vous êtes témoins”, et, les deux mains bien visibles, je pliais devant eux ce billet-test exactement comme la victime avait décrit les siens, avant de le ranger, tel quel, dans ma poche arrière de pantalon (un costume Auchan si je me souviens bien, c’était le début…).

J’avais à  peine eu le temps de leur faire un clin d’œil mystérieux et complice (et eux de se demander à  mon avis si j’étais réellement avocat…) que l’audience commençait.

Et qu’on y amenait mon Farid, menotté, et qui tout de même et pour les besoins de sa comparution, mais peut-être aussi quand j’y repense par épuisement vocal, l’avait enfin mise en veilleuse…

C’était l’époque où nos salles d’audiences n’avaient pas encore vu pousser dans leur noblesse architecturale ces immondes verrues en béton que l’on appelle “boxes vitrés”, sécurisés et vous coupant de votre client, dans lesquels on amène désormais les détenus, histoire d’aider encore à  la spontanéité de leurs déclarations…

Non, là , Farid parlait debout à  quatre mètres de ses juges et droit devant eux, au milieu de la salle, et s’asseyait quand il ne parlait pas sur un banc juste derrière : ignorant les usages, et la tête encore farcie des grands principes de notre métier tels qu’enseignés à  l’École, c’est sur ce banc et juste à  côté de lui que je m’étais assis moi aussi pour écouter le Président rapporter cette affaire, à  côté car l’avocat c’est l’ad vocatus, celui qui est à  portée de voix de son client pour l’entendre et le défendre…

J’avais donc négligé les bancs capitonnés tout exprès construit, un peu plus loin dans la salle, à  droite et à  gauche, pour les avocats, et me tenais juste à  côté de lui sur le banc d’infamie, en bois très simple, mon dossier à  la main, mes notes soigneusement rangées dedans, attendant qu’on me donne la parole avec terreur…

Deux précisions : ce banc est très bas, pas plus de quarante centimètres du sol, d’une part. Et nos robes, longues au minimum jusqu’à  mi-mollets, ont, d’autre part, cette particularité amusante et historique de ne pas avoir un simple ourlet en bas, mais de comporter une sorte de queue de pie, une traîne, qui est repliée à  l’intérieur et s’y tient grâce à  un système de suspentes (imaginez un très simple parachute mais à  l’envers), ce qui lui donne un si beau drapé… Et fait donc qu’elle est très longue et qu’à  l’intérieur se promènent du tissu et des bouts de fil dans tous les sens… Tout particulièrement lorsque vous êtes assis, l’ensemble pendouillant alors en une flaque sur le sol… Tout particulièrement lorsque vous êtes assis très bas, cette même flaque venant tomber sur vos chaussures (Eram, c’était le début…), sagement ramenées sous vous, sous le banc, en plis successifs…

Une ultime précision, pour ceux qui n’ont pas encore vu venir la catastrophe : je chausse au surplus du 45…

J’écoutais religieusement mon client nier et le Tribunal l’accabler, puis ma consœur de la partie civile (Quand je pense aujourd’hui que cette avocate était en fait probablement rémunérée grâce à  l’argent de la drogue… Une honte !) dire tout le mal qu’elle pensait des deux agresseurs et tout le traumatisme de sa cliente (qui était effectivement très marquée, elle avait d’abord “reconnu formellement” quelques instants plus tôt… Un autre homme, qui était là  pour une autre affaire, lorsque le Président l’avait interrogée…), puis les réquisitions du procureur, dix mois fermes… Et le moment fatidique arriva, le Président remerciait le procureur et avec un sourire, et selon un usage totalement perdu aujourd’hui et c’est bien dommage, mais encore plus stressant, annonça :

“Le Tribunal va maintenant entendre la défense, et se réjouit d’entendre pour la première fois Maître Mô. Maître, vous avez la parole.”

Les avocats connaissent l’état dans lequel on est à  ce moment précis, et qui perdure toujours peu ou prou, notamment devant une cour d’assises : un long tunnel blanc et la bouche sèche…

Et cette “annonce”, de même que les dénégations farouches et contre-nature de Farid (“mais qu’est-ce qu’il va raconter son baveux ?”),  avaient éveillé la curiosité de la salle, dès lors silencieuse et attentive.

Je dis “Merci, Monsieur le Président…”, d’une voix que je voulais assurée, et me levais de mon banc comme monté sur ressorts, avec une rapidité proportionnelle à  ma trouille…

L’un de mes grands pieds s’était pris dans l’une des suspentes de ma robe, et ma précipitation fit le reste : mon mouvement vers l’avant fut immédiatement contrecarré, avec force, par le poids de ma jambe tirant dès lors ma robe vers l’arrière, j’eus le temps de me redresser de tout mon long avant que cette énergie invisible m’envoie littéralement valser vers la salle, au-dessus du banc, tandis que mes bras moulinaient désespérément vers le plafond, lâchant au passage mon dossier dont les feuilles explosèrent littéralement en tous sens, une partie au Tribunal, une partie je ne sais pas où, une feuille sur les genoux de Farid toujours assis là , et qui n’en croyait pas ses yeux…

Je me retrouvais allongé sur le dos, les jambes au-dessus du banc, les bras en croix, un genoux douloureux, et l’orgueil à  jamais réduit à  néant, tandis que TOUT le monde, public, greffiers, escortes, magistrats… Tout le monde riait à  gorges déployées, un de ces fou-rires de salle inextinguibles et absolument horribles à  vivre… Quand on en est l’objet.

La robe déchirée, mon dossier éparpillé, un genoux en vrac, je me relevais péniblement pendant qu’autour, on finissait par se calmer -Farid n’avait pas ri, il lisait la feuille de notes qui lui était tombée dessus, je lui en suis resté reconnaissant à  vie.

Le Président repris le premier son sérieux, me demanda gentiment si ça allait, et me rendis une parole que j’avais moi-même fait tomber par terre avec ce petit mot : “J’espère que ce n’est pas la défense de Monsieur qui s’écroule…”

J’eus je trouve une réaction relativement digne compte-tenu du contexte, je répondis : “Non, et je demande à  votre Tribunal de ne pas tenir compte de ce premier argument !”, avec un sourire un tout petit peu pincé quand-même…

Et je plaidais.

Et le coup du billet fonctionna : à  un moment donné, et faisant allègrement fi de toutes les règles possibles et imaginables relatives à  l’administration de la preuve, j’expliquais en plaidant que j’avais emprunté tout à  l’heure un billet à  “nos amis journalistes ici présents” et l’avais plié dans ma poche, d’où il n’était plus ressorti -je me tournais vers eux et ils acquiescèrent gravement; je dis que j’allais sortir ce billet à  l’instant, et que ‘il comportait la moindre trace de pliure, qui ne marque pas ni ne peut marquer un billet usagé froissé maintes fois en tous sens, je voulais bien qu’on condamne Farid, mais que si rien n’y apparaissait…

L’histoire ne vous dira pas si j’avais vérifié avant, un peu de mystère ne nuisant pas…

Mais quand je dépliais effectivement mon billet, il n’y avait rien dessus, aucune marque, et le Tribunal, avec un petit sourire prequ’amical désormais, le constata en le prenant en mains…

Il n’y avait pas que cela ( mais aussi la victime et ses difficultés certaines de cohérence, la disparition du sac jamais retrouvé…), et j’ignore si ça a été déterminant, mais quand je revins deux heures plus tard (en claudiquant, mais pas autant que mon ego !) écouter le délibéré, j’entendis cette récompense merveilleuse qui pour un avocat pénaliste, quelles que soient les circonstances, la preuve, est un sommet de joie pure, et justifie tous ses efforts, toutes ses émotions : Farid était relaxé, au bénéfice du doute1 .

J’eus un beau “papier” dans la presse locale le lendemain, que j’ai conservé et relis parfois avec attendrissement…

Ça y était, j’étais avocat, j’aidais des gens !

J’en ai gardé une extrême défiance vis-à -vis de l’arrière de ma robe…

Mais une foi intangible dans ce que la défense peut apporter ! En restant debout, notamment…

Également disponible en : English

  1. La vérité vraie étant que je suis persuadé que le fait que j’intervienne pour la toute première fois a aidé, en ce sens qu’il n’était pas rare à  l’époque que les magistrat aient, presque comme une tradition, une “indulgence” toute particulière dans ces occasions… Pas jusqu’à  statuer contre la vraisemblance ou l’évidence d’un dossier, non, mais enfin… Jeunes avocats, il en va de ceci comme de cet accueil à  l’audience, et comme d’ailleurs malheureusement très souvent désormais de la simple politesse à  l’audience : c’est terminé ! []

163 Commentaires

  1. Pingback : Au grand Mô… – DANS TOUS LES S3NS

  2. Bonjour Maître Mô ! Je suis votre site depuis peu de temps, et finalement j'ai eu envie de visiter les archives, sauf que... Tout le texte est barré, ce qui rend la lecture très difficile ! Je ne sais pas si ça ne concerne que cet article là, mais s'il vous plait réparez ça, pour les lecteurs tout neufs comme moi qui voudraient se repaître de vos écrits :)
    1. Maître Mô
      J'ai peut-être corrigé, là, dites-moi ?

      Sinon, par quel chemin étiez-vous arrivé là sur le blog (archives ou "recherche"..?) : ce bug m'a déjà été signalé, mais je ne le "vois" pas à l'écran ici... Merci !
      1. Oh non j'explorais juste les catégories dans l'onglet "Home", et l'intitulé "Boulettes" a attiré mon attention, donc j'ai cliqué et j'ai eu envie de lire cet article en particulier.
        Le souci est en effet résolu, merci !

        Celà dit je l'ai à nouveau repéré sur cet article là : http://maitremo.fr/2011/02/06/e-themidos-menis-le-retour/
        Visiblement c'est en effet un souci récurrent sur votre site, j'espère que vous trouverez la solution =)
  3. Graffity
    Je commençais à  exercer lorsque j'ai lu votre article.
    Aujourd'hui j'ai 1 mois et demi de barreau et je me prends quelque fois les pieds dans ma robe dans mon empressement.
    Sachez que je pense à  vous à  chaque fois avec un peu d'inquiétude (j'espère que ça ne m'arrivera pas en audience) et un petit sourire (de toute façon j'en rirai dans quelques années)...
    Merci à  vous

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